Un topic consacré à la ceinture de chasteté

Catégories : Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 6 ans

Ce récit, mêlé à d'autres moments de notre vie, reflète ce que nous avons vécu.

J'ai suivi ce topic depuis ses débuts pratiquement ; c'était une découverte sensuelle et sexuelle car je pensais qu'une ceinture de chasteté pour homme était tout simplement dérivée de celles des femmes, avec une cage en plus ; tout au plus elle aurait permis à une mante religieuse de garder son mâle pour elle avant de le dévorer.

Cela demandait également de ma part une acceptation de différentes contraintes à l'opposé de ce que vit notre couple dans une relation D/s pas spécialement hard, où ma compagne m'est soumise : elle prétend cependant que ce que j'attends d'elle est en fait ce que je voudrais pour moi : par exemple, si je l'attache, elle pense que je désire également être attaché.

Mais elle n'envisage pas l'inversion des rôles dans nos rapports D/s.

Secrètement, le fait de porter une ceinture de chasteté m'excite ; je l'ai invitée à suivre le topic et j'ai vu son intérêt grandir sur la possibilité de contrôler mon sexe de cette façon.

Elle sait que je me masturbe assez souvent lorsque nous sommes éloignés l'un de l'autre, mais ne voit aucun inconvénient à cela et m'a toujours laisser une entière liberté sur ce plan. Nous n'avons jamais abordé le problème de l'infidélité, ni pour moi ni pour elle.

Quelques phrases parmi ses commentaires :

_ J'aimerais bien « contrôler » tes masturbations, cela me plairait de t'en savoir empêché quand je ne suis pas là.

_ Cela me plairait de te faire languir et de décider du moment où l'on ferait l'amour

_ Et avant de te « libérer » je pourrais exiger d'être satisfaite à ma guise.

_ Mais sache que ce n'est pas pour un amusement de quelques heures : j'ai envie que tu la portes sur de longues périodes, et jour et nuit. Je ne te libérerai pas sur une jérémiade.

J'étais attiré par le défi et je lui ai dit que j'acceptais, de la même façon qu'elle avait accepté de m'être soumise en me faisant confiance.

Elle m'a avoué aussi que dans sa relation à moi, le fait que j'avais tout pouvoir sur son sexe et son plaisir était quelque chose qui la dépassait et qui « justifiait » son désir de soumission ; Cette fois-ci elle voulait goûter à la liberté de décider du plaisir ou de la privation de plaisir de l'autre

J'ai commandé une CB-3000 ; pendant ce temps elle s'est replongée, seule, dans le topic pour se préparer à cette nouvelle façon de vivre notre couple..

Lorsque je l'ai reçue, nous avons décidé d'attendre quelques jours de congé pour nos premiers pas. Entre temps, quelques essais pour l'adapter et savoir commet s'y prendre.

Le vendredi venu, une petite fiesta à midi suivie d'une fastueuse séance de sexe, terminée par une fellation. C'est aussi la première fois qu'elle entreprenait la toilette de mon sexe et lorsque ce fut terminé elle plaça la CB-3000.

_ Tu es vraiment décidé, me demanda-t-elle une dernière fois avant de refermer le cadenas. Puis elle fixa la clé à une petite chaîne qu'elle passa à son cou ; elle la garda de cette façon quasi en permanence.

Cela m'a fait un drôle d'effet de voir se réaliser ce fantasme, aussi fort que le jour où ma compagne accepta d'être fouettée pour la première fois.

Excité, rapidement je recommençai à bander ; d'après ce qui avait été dit ce n'était pas jojo.

Ce n'était pas particulièrement agréable car on ne sait pas jusqu'où cela peut aller, mais en même temps c'est aussi sensuel que les premiers émois avec une fille avec qui l'on n'a pas encore fait l'amour, et qu'on bande pendant des heures sans pouvoir se satisfaire.

Premières fois pour aller aux toilettes : ça va. Première douche sous l'?il attentif de ma compagne : pas évident pour se sécher

La première nuit, c'était pas terrible. Je me suis étendu sur le côté avec un coussin entre les jambes. Il m'a fallu quatre jours pour m'habituer.

J'ai fini par très bien pouvoir dormir, mais les érections me réveillent : c'est un peu douloureux mais aussi bien excitant ; donc on ne va pas se calmer tout de suite.

Le jour suivant elle m'observe, elle me voit grimacer quelques fois lorsque j'ai une érection ; je suis assez fier de le lui dire chaque fois que je bande ; son inquiétude augmente à ce moment là.

Au matin du deuxième jour elle m'a attaché aux quatre coins du lit (c'est décrit dans l'un des post), puis m'a octroyé une fellation somptueuse. Après une toilette attentive, encore abattu de plaisir, elle n'eu aucune peine à me remettre « en cage ».

Pendant quelques temps j'ai eu droit à cette séance tous les deux jours mais mon « éducation » se durcit rapidement, et il ne resta plus que la toilette ou la douche avec quelques difficultés de « réintégration » de mon sexe. Quelques fois je prenais ma douche seul (avec la cage), puis j'acceptai de partager sa douche avec mon sexe libéré, mais mes poignets attachés au sommet du support (en fait c'était comme cela que je faisais avec elle, et je prenais le temps de la savonner et de bien repasser sur ses seins, son sexe et entre ses fesses).

Bien entendu elle s'ingéniait pour obtenir de moi une de ces triques qui avait beaucoup de peine à retrouver son carcan (Il fallait même quelque fois plusieurs douches froides pour y parvenir)

Toujours ce deuxième jour, je lui dis un peu plus tard : « Je bande à nouveau » ; elle me répondit aussitôt : « Moi je bande aussi ».

Elle se leva, quitta sa place, retira rapidement sa culotte, s'assis carrément sur le plateau de la table et m'offrit son sexe à lécher : j'adore lui faire ça mais cette forme de contrainte m'excita encore plus et je ne vous dis pas la douleur...

Plus elle m'imposa de longues périodes d'abstinence, plus elle eut besoin de cunis ou de caresses de ma part, ce qui ne faisait qu'augmenter le désir que j'avais d'elle (et le désir tout court)

Mais quand elle m'offrait la liberté de lui faire l'amour à ma guise, c'était plein d'énergie, une envie d'être au plus profond d'elle, que ses râles de plaisir me fassent bien comprendre qu'elle avait perdu tout contrôle d'elle-même depuis belle lurette. J'essayais aussi de le faire durer mon plaisir le plus longtemps possible, sachant ce qui m'attendait une fois « épuisé ».

Le temps passant j'avais de plus en plus envie d'elle ; il m'arriva une fois de me plaindre :

Elle s'arrêta du coup et me regarda avec gravité :

_ Je veux que tu le saches : il t'est interdit de te plaindre, cela pourrait te coûter cher.

Mais puisque c'est comme ça je vais m'occuper de ton sexe, ce sera un truc entre lui et moi,

Et pour t'empêcher d'intervenir tu seras entravé.

Après que je me sois déshabillé, elle me conduisit au pied du lit, me passa les quatre bracelets de cuir que j'avais achetés pour elle, puis fixa respectivement mes poignets à chacune des chevilles, tant et si bien que je me retrouvai à genoux, assis sur mes talons, les bras attirés vers l'arrière.

Mon sexe fut libéré ; J'éprouvais de la honte, en fait un mélange bizarre entre la posture d'asservissement de mon corps et l'attitude « glorieuse » de mon sexe.

_ On va faire durer le plaisir, si tu veux bien (son sourire me faisait bien comprendre l'inutilité du « veux ») dit-elle en se glissant devant de moi : ses mains approchèrent ma tête de son sexe et je me mis à la lécher : elle était déjà très excitée et mouillée. Quelques instants plus tard elle chancela :

_ Attends...elle s'appuya sur le rebord du lit se coucha avec les fesses bien avancées

_ Continue ...

Je m'avançai un peu, me penchai vers elle ; elle s'abandonna complètement dans un flot de mouille (j'aime la boire). Mon sexe et mon ventre étaient devenu douloureux, je me demandais quand elle allait me délivrer. Elle mit bien dix minutes pour apaiser son orgasme ; elle se rassit au bord du lit et fit quelques commentaires puis fixant son regard sur mon sexe :

_J'aime vraiment ta bite, je la trouve belle. J'aime aussi sa façon de demander une caresse. Mais oui ma petite, je te vois v i o l ette de désir... qu'est ce que tu veux ? Une caresse ? Mais je vais t'en donner.

Elle passa sa main sur sa vulve puis caressa mon sexe de sa mouille. C'était terriblement sensible, fort et bon : voilà ce que disaient mes gémissements. Elle s'arrêta :

_ Attends, je vais t'offrir quelque chose, rien qu'à toi ..., pas à lui, ton propriétaire

Elle s'étendit sur le bord du lit ouvrit et replia ses jambes m'offrant la plus ouverte des chattes ; Elle commença de se caresser ; je ne l'avais jamais vu faire cela de façon si directe, si près de mon regard, si intensément. Elle eut un nouvel orgasme : je savais que parfois elle pouvait en avoir deux à suivre, le dernier s'accompagnant de cris et de feulements particulièrement intenses : là j'ai eu droit à une prestation exceptionnelle.

Mais toujours rien pour mon sexe. J'étais pourtant au bord de la jouissance tellement j'étais excité, mais ça n'est pas venu.

Il lui fallu du temps pour s'apaiser puis sans un mot, elle se releva et partit vers la salle de bain prendre un douche en me laissant livré à moi-même...

La douleur et la tension de mon ventre devenait difficiles à supporter, J'avoue j'en avais les larmes au bord des yeux. Et pour ne pas y rajouter le sentiment d'humiliation, je hurlai :

_ Tu es une salope... une vraie salope !

Elle passa sa tête dans le cadre de la porte :

_ Ah oui ! Tu trouves ?

_ Je n'ai jamais imaginé que tu puisses faire quelque chose comme ça, c'est vraiment très fort, fort dans tous les sens, je n'en reviens pas ... je ne trouvais plus mes mots.

Elle ne répondit pas et termina tranquillement sa douche, revint en finissant de s'essuyer puis s'assit pour se recoiffer et finalement s'habiller.

En plus maintenant mes genoux et mes pieds étaient douloureux, mes bras me tiraient.

_ Quand tu débanderas, dis-le moi, je viendrai remettre l'oiseau dans sa cage, fini l'escapade.

L'inconfort de la position eut bientôt raison de mon sexe et à la deuxième tentative, il se retrouva emprisonné. Elle me libéra de mes entraves.

Je m'étendis sur le lit où elle m'apporta de quoi boire (et je pris discrètement un antidouleur)

Elle s'allongea câlinement près de moi et me raconta la façon dont elle avait prémédité cette scène et touts les sentiments et les sensations qui l'avaient parcourus.

_ Salope... me dit-elle en conclusion, ce mot m'a toujours fait rire et j'aime bien le prononcer quand le sexe devient cru. Salope ... grâce à toi il a maintenant pris un vrais sens pour moi et je suis prête à en assumer les conséquences.

J'ai quand même eu mal jusqu'au lendemain.

A l'extérieur, par exemple au travail, je me demandais comment cela allait se passer avec ma CB-3000. Pas trop de problèmes, parfois je dois changer de vêtements et dans le vestiaire je peux le faire sans que cela se remarque. Mais parfois le travail est suffisamment harassant pour que j'aie envie de me rafraîchir : ça m'étonnerait qu'un des mes collègues entre dans ma douche, mais tout peut arriver...

Par contre en déplacement. Paris, Rome ou Londres, j'adore me balader en fin de journée, je côtoie tout ce monde, ces jolies femmes et ces filles sur lesquelles mon regard vagabonde et mon imagination s'attarde : ouille ! Arrête, cela vient douloureux.

Et le soir dans ma chambre d'hôtel, plus de masturbation bienvenue

Le plus problématique fut quand même à la maison : un week-end j'étais de piquet pour mon entreprise, ma compagne était absente pour un cours de formation et l'on accueillait de temps en temps sa cousine de passage dans notre ville. C'était justement à cette date.

Cette fille est assez jeune, et c'est avec elle que l'on a les plus intéressantes discussions sur l'érotisme et le sexe ; elle est très cool, curieuse et pratiquement sans tabou.

Avec nous, être nue au sauna, sur un voilier ou au moment de se mettre au lit est une chose parfaitement naturelle.

_ Non seulement c'est la première fois que je vais me trouver seule avec elle, mais elle va trouver étrange que je me cache d'une certaine façon.

_ Je suis d'accord avec toi, A toi de te débrouiller. Discute seulement de sexe avec elle : j'imagine déjà les tourments que te fera subir ta bite (Elle partit d'un grand éclat de rire).

Au fond je pourrais lui remettre la clé ?

_ Oui c'est ça ! Et tout lui expliquer. Pourquoi ne négocierait-elle pas une « libération » sous le sceau du secret contre quelques « gentillesses » de ma part, elle pourrait profiter d'un « étalon » plein de fougue ?

_ Je vois que tu as déjà fantasmé sur elle... cela me laisse songeuse...

Alors je garde la clé et sois sage !

Finalement cela s'est très bien passé et mon secret n'a pas été dévoilé.

En juin on s'approchait des vacances et à part la toilette, mon sexe se trouvait vraiment en prison, et aucune caresse pour lui faire plaisir, aucune chatte pour s'y frotter.

Je me hasardai à lui demander (à elle, pas à la chatte) si une bonne bite ne lui manquait pas.

Elle m'avoua que oui mais que je ne perdais rien pour attendre.

Quelques jours plus tard ce n'est pas mon discret gémissement qui l'arrêta, mais mon regard suppliant :

_ Tu en as très envie .... Et tu n'oses pas te plaindre... la dernière fois te reste en souvenir...

Avoue-le ?

Je n'avais plus rien à perdre.

_ Oui, mais c'est inutile de rêver. Le pouvoir que tu as sur moi fait de toi une redoutable salope

Elle se remit à rire.

_ Eh bien la salope te donne l'ordre de monter dans la chambre et de t'étendre sur le lit ; c'est d'ailleurs le moment de ta toilette.

Les manchettes de cuir fixées aux quatre coins du lit je me trouvai entièrement ouvert et offert. De plus, cette fois ci elle me posa un bandeau sur les yeux et je me contentai de ce que je pouvais ressentir à son contact et d'imaginer ce qu'elle faisait.

Elle me libéra de ma cage, glissa sous mes fesses ce qui devait être une serviette de bain puis revint quelques instants plus tard. Je fus surpris de la sentir commencer par la toilette au contact d'un gant savonné : en principe cela suivait le jeu sexuel qu'elle m'avait préparé.

_ Aujourd'hui, c'est particulier. Dans trois jours nous partons faire de la voile. Moi je veux un mec, beau et bronzé. Dans quelques instants je vais t'enlever à la cire les quelques poils de ton torse mais en attendant je vais laisser agir la coloration que j'ai choisie pour la toison de ton sexe.

Je n'en revenais pas. Une toison fluo ? Rose, jaune, verte ?

Peut-être rouge sombre, bleu foncé : je préférerais encore ça. Qu'est ce qu'elle avait encore imaginé ?

Sur ce petit voilier, on vivait pratiquement nus, et les voisins aussi ; si en plus passait encore sa cousine ou une copine comme c'était probable ... Des nuages de points d'interrogation se profilaient à l'horizon, pendant qu'elle m'épilait, je dois dire avec douceur. Je n'en ai pas débandé pour autant.

_ Voilà, c'est terminé. Je vais t'enlever le bandeau et tu pourras apprécier ... et je m'occuperai de toi.

_ J'en avais envie, cela te plait ? ..., je lisais dans son regard.

La surprise totale : elle m'avait bien « traité » le haut mais le bas ce n'était pas une coloration qu'elle avait appliquée mais une crème épilatoire : j'étais vraiment « nu ».

Elle aussi avait profité de ce moment d' « aveuglement » pour faire de même : je le lui demande de temps en temps et elle pratique très volontiers l'épilation intégrale; elle avait apprécié que, pour son plaisir, il y a une année environ, je l'aie fait une fois sur moi.

Toujours écartelé sur le lit, j'ai eu alors droit à une irrésistible et longue fellation ; elle s'arrêta plusieurs fois avant l'éclatement, puis finalement m'entraîna sans retour possible : que c'est bon d'avoir envie de résister mais de ne pas pourvoir...

A demi conscient de plaisir je sentis refermer sur mon sexe la cage à(ux) l'oiseau(x).

Nous étions prêts à partir pour une dizaine de jours à bord d'un petit voilier prêté par un copain, juste ce qu'il faut pour faire du camping à deux : une grande couchette sur toute la largeur, un petit réchaud, et c'est à peu près tout. Pas sportif ni rustique, s'abstenir.

Voilà les conditions posées par ma copine :

_ Toi, tu organises nos vacances et moi, celles de ton sexe. Le jour durant j'ôterai ta cage une grande partie du temps mais promets-moi de la remettre sans réticence quand je te le demanderai : « au large » libre, à terre « sous contrôle ».

_ La nuit tu peux choisir de la porter et dormir sans entrave, ou que je te l'enlève, tes mains étant attachées au dessus de ta tête au support du mât : (et avec un sourire) je te conseille la deuxième solution.

Je vous dis tout de suite que j'ai préféré celle-ci. Que me réservait-elle ?

Dans une petite crique, seul au mouillage, à la fin de la soirée, elle me fit m'étendre puis passa à mes poignets les entraves de cuir ; le tout ne serrait pas et j'avais suffisamment de mobilité pour m'allonger à ma guise. Je dois dire que cela n'a jamais perturbé mon sommeil, une fois l'habitude prise... Puis une fois le cadenas ouvert elle disposa à sa guise de mon sexe.

Ce fut pour lui une fête au vrais sens du terme : c'était d'autres rites que ceux que nous avions coutume de vivre. Je lui suis reconnaissante d'avoir été si créative dans ces circonstances :

c'était d'abord des gestes très discrets, indéfinis, sans rythme, au gré de nos dialogues intimes sur notre complicité, sur nos désirs, sur le plaisir.

La plupart du temps elle s'allongeait contre mon corps, recherchant le contact et la texture de ma peau, mon odeur. Caresses et baisers se prolongeaient jusqu'au moment où certains mouvements, mon souffle me trahissaient ; nos paroles se faisaient alors rares et d'autres façons de s'exprimer, soupirs, gémissements, cris étouffés, accompagnaient notre danse irrémédiable, Savoir qu'elle obtiendrait mon plaisir, quelque soit la façon dont elle s'y prendrait, était terriblement excitant.

Une fois repris un peu nos esprits, son dernier geste, terriblement intime, était de prendre mon sexe dans sa bouche, de ne pas oublier, de ne pas laisser se perde nos moiteurs sexuelles dans une sorte de toilette animale ; c'était moment très fort, qu'elle ne m'avait jamais offert auparavant, et cette fois c'était toutes les nuits.

Et le matin de même, ses lèvres s'emparaient de mon sexe pour un « réveil » que je ne peux que vous recommander. En plus le contact particulièrement doux de mon bas-ventre épilé devait certainement lui plaire.

Le jour, sauf les moments de retour en cage, c'était la liberté de ma sexualité et de mes désirs.

La nuit, dans mes entraves, c'était la sienne qui s'exprimait ; en particulier j'ai éprouvé des sensations étranges quand souvent elle s'installait en amazone et frottait (ou plutôt masturbait) sa chatte avec mon sexe. Même si quelques instants elle m'introduisait en elle, elle m' « utilisait » comme un gode, fermant les yeux et recherchant son plaisir avec intensité : elle m'offrait un spectacle puissant et indécent et moi je me trouvais dans l'inquiétude de me sentir dépossédé de mon sexe.

Parfois, très lentement, elle empalait sa rosette, là, le regard intensément fixé dans le mien.

Sa chevauchée se faisait douce comme sa main sur son clito, et sans s'arrêter elle faisait monter son plaisir, ne fermant les yeux qu'au moment de l'orgasme ; sensation v i o l ente des contactions de ses muscles serrant ma bite dans un étau qui à peine relâché me reprenait à nouveau.

Un dizaine de jours ainsi avant de poursuivre les vacances dans un petit chalet rustique, un peu perdu dans la nature. Mais plus de « permission », l'oiseau reste en cage et la frustration se fait énorme : Ah !, quand on a goûté la liberté précédente ....

Mais elle aussi n'a pas demandé de caresses ou de cunis. Durant la deuxième nuit elle s'est caressée et, même si elle s'eff o r ç a i t d'être discrète, je me suis réveillé : en gardant les yeux clos je l'ai suivi jusqu'à son apaisement. Dans sa cage, il y en avait un qui n'était pas à la fête et s'est contenté de « souffrir » en silence.

Le matin du troisième jour elle n'y tenait plus :

_ J'ai envie de ta langue, de tes doigts, fais-moi l'amour.

Dans notre lit je l'ai vue nue, je l'ai vue prendre un plaisir intense, que je me suis eff o r c é de prolonger, on verrait bien après. Elle perdit connaissance au moment de l'orgasme ; cela lui était arrivé quelques fois dans le passé ; je suis resté surpris quelques instants car j'avais un peu oublié cette réaction de sa part.

Et tout a basculé : j'avais une à deux minutes devant moi avant quelle puisse réaliser ce qui lui serait advenu.

Je n'eus pas beaucoup de peine à passer ses poignets par-dessus sa tête et refermer les entraves (c'est bien à elle qu'elles étaient finalement destinées !). En faisant tourner la chaînette passée à son cou, je l'ouvris et la clef se retrouva dans ma main.

Cette fois-ci ma CB_3000 n'était plus qu'un accessoire sans utilité.

Elle reprit conscience essaya de ramener ses bras puis leva son regard sur son ventre ;

Une seconde fois elle tenta de ramener ses bras, puis se rendit compte que la chaînette n'était plus là. Alors elle m'aperçu, allongé sur le côté, balançant la clé du bout des doigts ; enfin elle regarda mon sexe, libre et « impatient ».

Elle renonça, détendit son corps et ferma les yeux.

Un long moment pesa sur elle puis, un petit sourire aux lèvres :

_ Que vas-tu faire de moi ?

_ Je vais te baiser ... Puis je te fouetterai... non, plutôt je te donnerai le fouet, ça fait bien trois mois que tu ne l'as pas reçu ... et après, je ne te laisserai pas de repos, je recommencerai à te baiser.

Et tu seras à moi le reste du séjour.

Elle se retourna lentement puis replia en partie ses genoux sous son corps en les écartant ; j'aime la position de la négresse ...

A notre retour, je remettrai discrètement la CB_3000 et une fois à la maison je lui rendrai la clef.

Cette idée me plaît et l'on verra bien ...

QUELQUES LIENS

ACHETER UNE CAGE DE CHASTETE EN FRANCE

UN FORUM pour parler de chasteté ou poser des questions

ICI il y a 430 histoires érotiques SANS PUB sur les cages et ceintures de chasteté

ICI il y a 6300 photos SANS PUB de dispositif de chasteté

ICI il y a 1100 vidéos SANS PUB sur les cages et ceintures de chasteté

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque !

LIRE des histoires érotiques Hard

Il n'y a que de l'amour BDSM dans cette jolie histoire
Publicité en cours de chargement